Le libre-échange à l’échelle mondiale facilite aujourd’hui l’investissement immobilier à l’étranger. Ils sont nombreux, les épargnants français, à être séduits par cette idée, mais peu d’entre eux maîtrisent parfaitement les rouages de cette opération. Cela se révèle être vrai, aussi bien sur le plan légal que technique. Au cas où vous seriez intéressé par les opportunités d’investir dans l’immobilier à l’étranger, voici pour vous guider, une revue en détail des indicateurs économiques à prendre en compte.
Les pays où il fait bon d’investir dans l’immobilier son facilement identifiables grâce à différents paramètres qui, s’ils sont bien étudiés, orientent sur la bonne voie. Pour mener à bien cette étape, vous pouvez vous faire assister par des spécialistes ayant de l’expérience dans l’investissement immobilier étranger.
La quasi-totalité des indicateurs permettant de s’assurer d’un retour sur investissement est étroitement liée à la santé économique du pays choisi. On peut notamment citer :
En tant que futur propriétaire de biens immobiliers à l’étranger, il vous faut avoir à l’esprit tous ces facteurs avant de porter votre préférence sur tel ou tel pays. Car tous ces éléments ont un impact direct ou indirect, soit sur la location, soit sur l’évolution des prix des propriétés immobilières.
Pour vous constituer un patrimoine de sécurité à l’étranger, il est indispensable d’accomplir quelques démarches auprès des services administratifs de France et du pays concerné.
Les démarches d’achat d’un bien immobilier diffèrent d’un pays à un autre. Là où certains pays exigent que l’acte de vente soit rédigé par un notaire, d’autres, par contre, laissent cette tâche à charge des cabinets d’avocats locaux. Ces variations vous obligent à solliciter l’aide d’un expert en droit international, pour vous conformer à la réglementation en vigueur. Par précaution, il est également conseillé de consulter un notaire pour analyser les clauses de l’avant-contrat de vente. Vous pourrez ainsi mieux cerner les garanties et le délai de rétractation.
Pour ce qui est des transferts de fonds à l’étranger, il est impératif de déclarer aux services douaniers, les sommes en espèces supérieures ou égales à 10 000 € destinées à être sorties de France. Pour communiquer ces sommes aux autorités, vous devez remplir un formulaire, en l’occurrence le Cerfa n°13426*04. Ne pas effectuer cette démarche entraîne des sanctions financières à hauteur de 25 % du montant non signalé.